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Aux côtés des Lulus, 5 orphelins français livrés à eux-mêmes en zone occupée, on plonge dans le quotidien des oubliés de la Grande Guerre, ceux qui n’ont pas connu le front.

Régis Hautière  explore la réalité de la Première Guerre mondiale, à travers les yeux de jeunes héros attachants, dans un récit mis en image par le talentueux Hardoc. Un récit d’aventure explorant des thématiques graves – pénurie, occupation, fuite, violence - avec humour et une touche de naïveté enfantine.

Comptant plus de 10 albums, la série La Guerre des Lulus comptabilise déjà plus de 500 000 lecteurs. Ces BD best-seller ont ensuite été adaptées en romans jeunesse, puis au cinéma en 2022, par  Yann Samuell , réalisateur de La Guerre des boutons et de Jeux d’enfants.

Une série de bande dessinée jeunesse à découvrir dès 8 ans mais aussi pour les plus grands !

La série raconte les aventures du club des Lulus (Lucas, Lucien, Ludwig, Luigi et Luce), une bande de garnements pensionnaires dans un orphelinat à l'aube de la Première Guerre mondiale. Mais lorsque le conflit éclate et que l'orphelinat est évacué devant l'avancée des troupes allemandes, les Lulus décident de se rendre à tout prix en Suisse. Leur route sera dès lors pavé d'aventures palpitante, d'humour et de tendresse, tandis qu'ils découvrent les affres de la guerre avec leur innocence d'enfant.

Pour son ton juste, léger mais pertinent, ses dessins de grande qualité et ses personnages attachants, la série fait d'ors et déjà office de référence en matière de BD historique pour enfant.

Lucas, Lucien, Luigi et Ludwig sont quatre des pensionnaires de l’orphelinat de l’abbaye de Valencourt, un village que l’on pourrait situer en Picardie (région où résident les auteurs). Tout le monde les surnomme les Lulus.

En cet été 1914, alors que les adultes sont préoccupés par la mobilisation qui les conduit sur le front (l’instituteur est appelé comme tant d’autres sous les drapeaux), il est aisé pour les quatre lulus de fuguer pour vivre leur vie d’enfant en construisant une cabane dans les bois.

Ces quatre gamins insouciants ne se doutent pas que le monde va basculer dans un conflit sanglant et qu’ils vont se retrouver seuls dans un village déserté par tous. Passé le temps de l’euphorie de l’autonomie, vient le temps de la débrouille, puis de la survie.

Une cinquième Lulu (Luce), une jeune réfugiée belge qui a perdu ses parents sur le chemin de la déportation, va être chaperonnée par cette équipe de quatre ados.

Au travers du regard de ces enfants, on vit la première année de la Grande Guerre sans verser dans le pathos et en évitant toute description trop crue de ce conflit meurtrier. Les dialogues sont savoureux de naïveté, notamment quand ces enfants abordent leurs croyances sur la religion ou la mort.

Ces orphelins sont attachants, le scénario est fluide, plaisant et la bande annonce que l’on retrouve en fin d’album est très prometteuse. Le dessin de Hardoc est léger, limpide, d’une grande finesse et les décors sont bien travaillés.

Qui sont ces Lulus et de quelle guerre parle-t-on, Monsieur Régis Hautière ?

Il s’agit de la guerre de 14-18 et des aventures de Ludwig, Lucien, Luigi, et Lucas, âgés de de 11 à 15 ans. À l’orphelinat de l’Abbaye de Valencourt, ils sont devenus une vraie petite bande d’inséparables. Alors que le village va être occupé par les Allemands, et qu’il faut évacuer, les Lulus manquent à l’appel. Ils se retrouvent donc seuls, livrés à eux-mêmes, et en plein conflit.

Vraiment seuls ? Pas si sûr ! Avec une touche féminine et encore un prénom commençant par ’Lu’, bien vite la petite bande se complète avec Luce, 13 ans. Amitié, solidarité, courage, espoir… sont aussi les ingrédients du succès de cette bande dessinée, sans oublier la grande histoire !

L’action se passe dans la région de la Picardie, région que l'auteur, Régis Hautière, connait très bien et qu’il a choisie pour être le terrain des aventures des 5 Lulus, comme il l’explique lui-même :

"Les territoires du Nord de la France sont profondément meurtris et on voit des cicatrices, on voit vraiment des traces de la guerre de 14 encore aujourd'hui sur ces territoires-là. Et donc, La guerre des Lulus, c'est aussi une façon de rendre hommage à cette région, à ses habitants et à tous ceux qui ont vécu les atrocités de la guerre de 14, non pas côté soldats, mais du point de vue des civils."

Août 1914. L'offensive de l'armée allemande au nord-est de la France jette des milliers de villageois sur les routes.

Dans le désordre ambiant, quatre enfants, Lucien, Lucas, Luigi et Ludwig, sont oubliés lors de l'évacuation de leur orphelinat. Bientôt, ils se retrouvent isolés derrière la ligne de front. Livrés à eux-mêmes en territoire ennemi, ils s'organisent pour survivre...

Lucas, Lucien, Luigi et Ludwig : quatre des pensionnaires de l’orphelinat de l’abbaye de Valencourt en Picardie, et que tout le monde, par commodité, surnomme les Lulus. Leur univers a volé en éclats au cours de l’été 1914. Totalement isolés à l’arrière des lignes allemandes lors du déclenchement de la guerre, ces quatre inséparables bientôt rejoints par une autre réfugiée, Luce, 13 ans, ont dû en urgence apprendre à survivre dans un environnement soudain devenu très hostile. Réfugiés dans une cabane en forêt, les Lulus doivent en outre gérer l’inconnue que représente l’unique adulte de leur petit groupe : Hans, un soldat allemand devenu leur prisonnier. Contre toute attente, celui-ci s’avère un compagnon conciliant, trop heureux d’échapper au conflit et à ses combats sanglants. Une sorte de paisible bonheur sylvestre finit même par prévaloir au fil des mois, tandis que la guerre s’enracine dans l’année 1915. Mais combien de temps une telle parenthèse peut-elle se perpétuer, alors que l’horreur rôde si près d’eux, en lisière de leur petit monde miraculeusement préservé ?

1916. Encore une année qui passe. Quand on n'a pas encore atteint l'âge adulte, une année c'est presque une vie. Orphelins, laissés à leur propre destin dans un monde entré en guerre, les lulus poursuivent leur chemin de survie.

Avec la mort de Hans, leur monde a basculé brutalement dans la réalité de cette guerre qu'ils évitaient si bien. S'enfonçant dans la forêt, ils découvrent une cabane qui se présente comme un nouveau signe d'espoir...

1917

La guerre s'éternise. Le blocus naval mis en place par l'Angleterre, pour empêcher le ravitaillement des puissances centrales, provoque une pénurie alimentaire dans toutes les zones controlées par l'armée allemande. Dans cette Europe meurtrie, le périple des Lulus se poursuit. Malgré leur optimisme naturel, ils commencent à désespérer de revoir un jour l'abbé et les copains de l'orphelinat. Et, s'ils restent soudés dans l'adversité, des lézardes apparaissent dans leur belle amitié.

Leur route, semée d'embuches, leur réserves toutefois de belles surprises et c'est d'un pas décidé qu'ils partent à la recontre d'un pays qui leur est inconnu et de ses droles d'habitants...

1918

Alors que la Première Guerre mondiale fait rage, les Lulus tentent de survivre en zone occupée. Enrôlés malgré eux par une société secrète, les quatre orphelins sont contraints de se séparer. Cette séparation, la toute première depuis qu'ils se connaissent, pourrait être beaucoup plus longue qu'ils ne l'imaginent...

Grâce à ce documentaire, illustré en partie par des cases et des dessins extraits de la bande dessinée "La Guerre des LULUS", les enfants de 8 à 12 ans comprendront mieux la période de la Première Guerre mondiale. Ils se rendront notamment compte du courage des Poilus et de l'horreur de la guerre des tranchées.

Cet ouvrage, Le journal de la guerre des Lulus, de la présentation de l'Europe fin 1913 à la reconstruction en 1919, reprend les notes des Lulus accompagnées de commentaires historiques.

Sur chaque double page, nous retrouvons un extrait de la bande-dessinée et le commentaire des Lulus, comme si ils tenaient un journal de leurs aventures, couplés avec des articles de journaux, des textes documentaires, des photos d'époque ...

Tous les sujets de la première guerre mondiale sont abordés : l'évolution de la guerre, la vie dans les tranchées, les désertions et mutineries, les zones occupées, l'essor de l'aviation, les hôpitaux de campagne, le rationnement alimentaire, le travail des femmes .. mais aussi l'invasion de poux, la pénurie de matières premières, les journaux clandestins, la propagande, le travail forcé et les brassards rouges (que je ne connaissais pas)...

C'est très intéressant de voir que les BD permettent vraiment de suivre fidèlement cette première guerre mondiale dont on commémore l'armistice.

Les articles sont courts, faciles à lire et parsemés de photos ce qui les rends très attractifs. La mise en page est claire, avec, bien séparé, le journal des Lulus comprenant leurs commentaires écrit en script et des extraits des bandes dessinées, et d'un autre le journal de guerre reprenant des faits historiques. 

à retrouver 

Ce nouveau sixième tome, d'une grande richesse, continue d'explorer l'importance de la famille, même éloignée, tout en rendant hommage à la fière et magnifique Corse.

Avec bienveillance, les auteurs mettent également en avant les ressentis de Magda et la difficile réalité du parcours médical des amputés.

Vous y trouverez aussi : un taureau caractériel, des décors escarpés avec vue sur la mer, plein de cochons sauvages, des légende hilarantes, un gang de mamies corses et des fromages qui puent !

Dans le village corse d'Usciolu, Elfie fait la connaissance d'Orso, un homme qui peut soulager la souffrance. Pourrait-il aider Magda dont les douleurs fantômes sur sa jambe amputée sont plus vives que jamais ? 

Le souci c'est qu'Orso ne pratique plus depuis qu'il s'est disputé avec son frère Battista, disparu il y a dix ans.

Pour prouver à Orso qu'elle est aussi une sorcière, Elfie donne vie à un nouvel origami : un petit cochon corse prénommé Signal.

Aussi adorable que peureux, Signal en gros sur la patate. Heureusement, la psychologue magique Mme Tourment est là pour ça.

Le Grimoire d'Elfie est une série de bandes dessinées dessinée par Mini Ludvin, mise en couleurs par Hélène Lenoble et les scénarios ont été créés par Christophe Arleston et Audrey Alwet.

A paraître le : 05/11/2025

Une aventure tendre et drôle qui rend hommage à la plus belle île de Méditerranée.

Dans les montagnes corses, Elfie et ses sœurs retrouvent le village natal de leur grand-mère, où elles sont accueillies à bras ouverts. Mais Magda est en proie aux douleurs fantômes qui hantent sa jambe amputée.

Elfie apprend qu’Orso, un pompier volontaire, savait apaiser la souffrance. Mais aujourd’hui, il refuse de pratiquer son art… Était-il un sorcier lui aussi ? Et si oui, comment faire pour qu’il le redevienne ?

Aidée d’un cochon peureux et de grands-mères au fort caractère, Elfie enquête sur Orso et son frère mystérieusement disparu…

Quand "La Grande Vadrouille" rencontre "Astérix" ça donne un album parfaitement maîtrisé, plein d’humour et d’Histoire. Fabrice Erre se place en digne héritier de Goscinny avec un scénario drôle et tranchant aux doubles-lectures rondement menées. 

En juin 1940, les Français sont vaincus par les Allemands et doivent déposer les armes. Tous les Français ? Non ! Papi et Lucien ont entendu l'appel du général de Gaulle et veulent le rejoindre à Londres. Mais pour ça, ils doivent traverser la France et faire face à l'envahisseur.

La Seconde Guerre mondiale est devenue un thème récurrent dans la bande dessinée jeunesse depuis plusieurs années, avec des titres variés et intéressants comme Les grandes vacances, Les enfants de la résistance ou bien Le réseau paillon. 

à retrouver dans votre  

Adapter des évènements tragiques et complexes est un travail colossal mais important pour la sensibilisation et la transmission du passé. Une autre manière d'aborder le conflit est l'humour. 

Voilà un album pour tous publics que l’on prend grand plaisir à lire ! D’abord pour son humour : on sourit à toutes les pages en lisant les dialogues concoctés par Fabrice Erre, (surtout quand c’est le truculent Papi qui parle) et en regardant le dessin de Téhem. Les expressions de ses personnages sont drôles, mention spéciale pour son Général de Gaulle. Ensuite pour les clins d’œil amusants à notre monde actuel. Enfin pour son rythme : voilà un récit mené tambour battant, en phase avec la rapidité de la débâcle de 1940.

Le récit commence en juin 1940, dans un petit village au bord de la Méditerranée. Un grand-père s'occupe seul de son petit-fils. Le premier apprend dans son journal la déroute de l'armée française. Qu'à cela ne tienne, il ressort son casque Adrien et commence à creuser des tranchées... dans le jardin. Raisonné par Lucien, qui lui fait découvrir la radio, il entend le discours de Charles de Gaulle. Tous deux décident de le rejoindre à Londres. C'est le début d'une aventure loufoque à travers la France.

Destination Londres pose le cadre de cette série. Le tandem Papi/Lucien est amusant car les rôles sont inversés. Le senior, vétéran de 14-18, est complètement à l'ouest, son petit-fils doit souvent lui expliquer les choses. Cette inversion ravira les plus jeunes. La trame de l'album reprend celle des road-movies. En effet, les protagonistes principaux vont devoir affronter quelques épreuves afin d'atteindre la capitale de la Grande-Bretagne. Cela sera l'occasion de rencontrer des personnages secondaires qui leur viendront en aide et d'autres qui les pourchasseront, y compris le Führer ! Les nazis et membres de la Wehrmacht sont tournés en dérision et en ridicule dans un grand nombre de situations, ce qui génère une ambiance comique sympathique et donc conforme aux standards de la BD jeunesse.

Le scénario est une création de Fabrice Erre, qui s'est déjà illustré dans le récit historique. En fin connaisseur du thème qu'il a enseigné quelques années, il parvient à en tirer une suite de péripéties rocambolesques et fraîchement drôles. Sa grande maîtrise des genres et formes d'humour lui permet de proposer une histoire adaptée à un jeune public, sans verser dans les clichés et la lourdeur.
 

Téhem assure les dessins. Lui aussi est un habitué de ce secteur, de la bande à Tcho à Malika Sekouss, en passant par Zap collège, il a su développer un trait moderne devenu une forme de norme dans ce domaine. Les personnages ont des bouilles sympathiques, avec des expressions très franches. Les lecteurs avisés devineront même une certaine jubilation du dessinateur, manifestement à l'aise avec l'exercice, dans plusieurs scènes, en particulier celles des rencontres entre Churchill et De Gaulle qui sont hilarantes.

La Drôle de guerre de Papi et Lucien est une réussite. Amusant et ultra-rythtmé, ce titre fera le bonheur des petits et des grands !

1940.

Papi est un ancien poilu, toujours très remonté contre les Allemands. Pour lui, rien ne vaut une bonne tranchée ! Son petit-fils, Lucien, essaye de lui expliquer que ce nouveau conflit qui s'annonce n'a rien à voir avec la Grande Guerre.

Un jour, Papi entend l'appel du Général de Gaulle à la radio. Remonté comme un coucou, il décide d'aller rejoindre la Résistance à Londres.

Avec courage (et une bonne dose d'inconscience) Lucien et son grand-père démarrent un incroyable road-trip à travers la France, sur un chemin semé d'embûches.

Dans cet album, les gags et les gaffes s’enchaînent sur un fond historique parfaitement maitrisé pour être subtilement détourné (Fabrice Erre est professeur d’histoire.) En dépit de son déroulement tragique, ce road-trip hilarant s’adresse aux plus grands comme aux plus jeunes, dans cette parodie de l’Histoire à double détente, digne du maitre en la matière Goscinny.

Loin de constituer -comme d’autres- un pastiche des irréductibles Gaulois ou des films des années 1960 à la Bourvil et Louis de Funès, cette série naissante a tous les arguments pour devenir un classique en librairie. On rit de bon cœur des maladresses de papi. On imagine aisément les enfants coincés sur la banquette-arrière de la voiture entre deux péages. Fabrice Erre et Téhem ont là la recette parfaite pour nous faire passer un cours d’histoire souriant au cœur de l’été.

Deuxième épisode de cette série jeunesse qui détourne à souhait la Seconde Guerre mondiale. Le duo Fabrice Erre / Téhem continue de s’adresser, avec brio, aux petits lecteurs comme aux plus grands, dans un album encore une fois à plusieurs niveaux de lectures. Dans cette "expédition : Atlantique", fini le "Road-trip" pour traverser la France, dites bonjour au "Sea-trip" direction Brazzaville au Congo où les attend le Général De Gaulle.

1941.

Une nouvelle course-poursuite, sur les mers, cette fois, aux multiples rebondissements, pour nos attachants Papi et Lucien.

Mars 1941. Coincés dans la ville de Londres bombardée, Papi et Lucien sont appelés à une nouvelle mission. Le Général de Gaulle lui-même les invite à le rejoindre à Brazzaville, au Congo, où s'est établie la capitale de la France Libre.

Hors de question, cependant, de reprendre le chemin par la France, envahie par les nazis. Papi et Lucien embarquent donc sur un cargo de ravitaillement,...

La première année de guerre avait donné comme mission à Papi et Lucien de répondre à l’appel du Général De Gaulle et à le rejoindre à Londres. Objectif atteint après une traversée de la France semée d’embuches que les deux apprentis résistants ont su surmonter dans un enchaînement de gags.

Mais, maintenant coincés dans la capitale anglaise menacée par les bombes, Papi et Lucien sont appelés par De Gaulle, lui-même. Installé à Brazzaville, nouvelle capitale de la France libre, le général invite nos héros à le rejoindre pour leur donner une toute nouvelle mission.

Le voyage s’annonce long et périlleux surtout qu’il est impossible de faire machine arrière pour passer par la voie terrestre, la France est complètement occupée par les soldats nazi. Nos deux guerriers prennent alors la tangente en passant par l’Atlantique. Dans un rafiot de ravitaillement qui ne paye pas de mine, la route s’ouvre en direction du continent africain. Mais la traversée ne se fait pas sur une longue mer tranquille puisque Helmut, le soldat nazi est lui aussi à bord et compte bien intercepter Papi et Lucien.

Avec ce Sea-trip, la série prend de l’épaisseur, toujours dans un enchaînement de gag. Nos héros et leurs nouveaux amis brassent des sujets parfois oubliés de l’histoire. U-Boat, guerre en mer et sort des colonies sont de sortie pour instruire les lecteurs avec légèreté dans cette deuxième année de guerre synonyme de deuxième tome de la saga.

Après la France et la mer, la drôle de guerre de Papi et Lucien se poursuit à travers le Sahara. Au service de la France libre presque malgré eux, ces deux héros de l’ombre continuent la lutte contre l’occupant.

Le général de Gaulle confie une nouvelle mission à Papi et Lucien : aller chercher l'or de la Banque de France... en plein Sahara !

Papi et Lucien sont toujours à Brazzaville, au Congo, la capitale de la France Libre. À leur grande surprise, le général de Gaulle leur confie une nouvelle mission : aller récupérer l'or de la Banque de France stocké à Tombouctou, avant que les nazis ne mettent la main dessus !

Le grand-père et son petit-fils se lancent dans une course contre la montre, suivi de près par l'impossible Helmut, le soldat nazi très bête qui cherche à les doubler.

Depuis le Congo, Papi Marcel et son petit fils Lucien prennent la route pour une nouvelle mission confiée par le Général De Gaulle lui même. Direction Kayes au Mali pour récupérer l’or de la Banque de France et le livrer à la France libre avant que les Nazis ne mettent la main dessus.

Dans ce périple à travers le Sahara, la série garde le cap. Avec un nouveau décor à dompter, le duo de héros ne s’essouffle pas. Cette nouvelle mission est du même standing humoristique que les deux précédents tomes. Le scénario joue avec malice avec l’histoire : clin d'œil, apparition de vedettes et anachronismes rythment cette grande vadrouille avec humour.

Avec Papi et Lucien, l’aventure s’associe à de nombreuses anecdotes historiques jamais ridicules, mais qui, avec l’humour de Fabrice Erre et le dessin cartoon de Téhem, fait passer la pilule.

De retour en France, Papi et Lucien poursuivent leur épopée au service du général de Gaulle. Investis d’une nouvelle mission : ils doivent maintenant livrer une grande cargaison d’or à la Résistance. Après avoir traversé la Manche, arpenté les rues de Londres et affronté les sables du Sahara, leur périple et le dépaysement se poursuivent pour Papi et Lucien dans les montagnes du Vercors.

Papi et Lucien ont une nouvelle mission : acheminer une cargaison d'or dans le Vercors, pour aider la Résistance.
 

Papi et Lucien doivent acheminer les lingots d'or récupérés en Afrique dans le Vercors, pour aider la Résistance à s'organiser.
 

Cette fois-ci, le voyage se fera en triporteur pour un maximum de discrétion. Papi et Lucien vont tant bien que mal traverser la France occupée par les ennemis pour atteindre leur objectif. Ils croiseront la route de nombreux résistants tout en essayant d'échapper aux nazis, menés par l'insupportable Helmut !

Sortis indemnes des griffes du désert du Sahara, Papi et Lucien rentrent enfin en France, les poches pleines de lingots d’or. Leur mission : acheminer ce précieux trésor jusqu’aux réseaux de la Résistance.

 

Ce quatrième tome marque une nouvelle étape dans leur traversée d’une Europe en guerre. Ils découvrent une France occupée et collaborationniste où milice, Gestapo et police collaborent parfois à double emploi. Sous la houlette du général de Gaulle, le duo devra faire preuve d’une vigilance accrue, d’une bonne dose d’ingéniosité… et d’une maladresse toujours aussi savoureuse pour réussir leur mission.

 

Triporteurs enfourchés, les deux héros, dignes héritiers de Louis de Funès, poursuivent leur Grande Vadrouille au nez et à la barbe de l’occupant. La maladresse de Papi et la débrouillardise de Lucien sont de nouveau les outils favoris de Fabrice Erre pour construire un récit aussi drôle que rythmé. Gags visuels, jeux de mots, anachronismes assumés et quiproquos savoureux... Papi et Lucien se placent dans le sillage d’un autre duo célèbre de la bande dessinée Française : Astérix et Obélix.

 

Entre humour et Histoire, La Drôle de guerre de Papi et Lucien approche de sa conclusion, à mesure que la Seconde Guerre mondiale touche elle aussi à sa fin. Une série à double lecture, idéale pour une lecture en famille.

 

 

 

Une lecture qui peut être suivie, en classe, pour aider l'enfant à comprendre, dire et écrire.

La Drôle de guerre de Papi et Lucien, une BD jeunesse bien conçu, novatrice et qui fait brillamment acte de mémoire, en réussissant le pari d'éduquer les plus jeunes tout en les faisant rire.

Nous sommes entre 1940 et 1945, dans ce récit entre fiction et réalité, où Papi et Lucien vont rencontrer des personnages aussi attachants que rocambolesques.

Découvrez quelques unes des références historiques présentent dans cette série.

Cette série "La drôle de guerre" est une belle occasion pour un jeune lectorat d’entrer dans l’histoire de France par la petite porte. Ou plutôt par la petite case !

France Juin 1940 – Certainement pas la date la plus glorieuse de l’histoire de France. Mais Papi a du mal à y croire. « Depuis les Grognards de la Grande Armée jusqu’aux valeureux poilus des tranchées, la France n’a jamais baissé la garde ! » Lucien, du haut de ses onze ans,  soupire : « Ah ben si, quand même. Trafalgar, Waterloo, Sedan… » Sans oublier la Somme, et on en passe.

Et tout l’esprit de cette BD est résumée dans ce dialogue : Alors que la déroute est complète, Papi peine à appréhender la réalité, que son petit-fils s’obstine avec patience à lui faire entrer dans la caboche. Non, Papi, il n’est plus temps de creuser des tranchées, l’heure est à la guerre de mouvement. La Blitzkrieg, même. Et on l’a perdue.

Et voilà comment !!!

Approchez, approchez ! Toute la ville de Voisinville est invitée à notre 21e anniversaire ! Hourra !

Il y a tout juste 21 ans, le tout premier Plants vs. Zombies™ est sorti de terre. Depuis ce jour, nous avons défendu plus de cervelles que les zombies ne pourraient en dévorer, même dans leurs rêves les plus fous ! 

Le temps passe à une vitesse folle ! Pour célébrer cette nouvelle étape majeure, nous avons souhaité vous présenter cette série loufoque en bande dessinée !

A  la base, Plantes contre Zombies (Plants vs. Zombies ou PvZ) est un jeu vidéo de tower defense développé et initialement publié par PopCap Games et il s'agit du premier jeu de la série Plants vs. Zombies. Le jeu implique des propriétaires qui utilisent une variété de plantes différentes pour empêcher les vagues de zombies d'entrer dans leurs maisons et de « manger leur cerveau ».

Dans la bande dessinée Plants vs. Zombies, chacun de ces tomes forme une histoire complète.

Le premier est introductif…  On y découvre Voisinville et sa soudaine invasion de zombies sortis de nulle part. On y rencontre nos héros, Tom, un garçon casse-cou et un peu présomptueux "comme tous les garçons", Patty, une fille intelligente et débrouillarde "comme toutes les filles", et Dave le Dingo l'oncle de cette dernière, sorte de gentil savant fou et personnage bien présent dès la première version du jeu vidéo. C'est ce dernier qui a créé la colonie de plantes intelligentes et guerrières capables de combattre les zombies pour peu qu'elles soient alimentées par l'énergie solaire. Et face à eux, on découvre le chef des zombies, le Dr Zomboss, adversaire qui va devenir récurrent et lui aussi savant dirigeant sa horde de zombies décérébrés.

Dès le début, on rentre dans l'action. Tom Apic et Patty doivent faire face à l'arrivée nombreuses de zombies. Ils sont très nombreux et motivés pour dévorer de la cervelle. Les gamins refusent de mourir et il faut trouver des alternatives à leurs attaques. Grâce à Dave le Dingo qui a pris des initiatives dans son coin, leur vie est sauve. Il a modifié des plantes pour agresser ces morts vivants. Entre les tournesols, les plantes carnivores, les petits poids, les pastèques... ils utilisent leurs atouts et le soleil pour combattre. La nature possède des ressources incroyable.

On se laisse emporté dans l'action qui ne cesse jamais. Les deux adolescents font alliance et ont beaucoup d'audace. le sens de l'aventure les habite. Course poursuite, alliance entre les plantes, machinerie géante.. tout prend des proportions gigantesques. 

Attention toute fois, dans Plants vs. Zombies , le ton est à la grosse déconnade. Les zombies sont forcément ridicules, mais les gentils aussi. Le danger n'est jamais pris au sérieux, et les péripéties s'enchainent comme une suite de gags tartes-à-la-crème qui tombent tous complètement à plat. L'exemple le plus flagrant est le fameux Dave le Dingo qui parle en débitant des gargouillis et des mots sans aucun sens et que seule sa nièce comprend.

Vous n’avez rien à perdre… si ce n’est votre cervelle ! Le jeu extrêmement populaire de PopCap arrive enfin en bande-dessinée ! L’inventeur au langage étrange Dave le Dingo fait son possible pour aider sa nièce Patty et le jeune aventurier Tom Apic à repousser l’invasion zombie qui menace d’infester la petite ville tranquille de Voisinville. Leur unique espoir est une courageuse armée de plantes qui mordent, écrasent et lancent des pois. Mais les zombies, accompagnés de leur mystérieux chef rigolard, arriveront-ils à briser leur défense ? Une folle aventure pour les chasseurs de zombies, petits et grands !

Les frasques du Dr Zomboss quand il était étudiant sont révélées au grand jour !

Tous les habitants de Voisinville se retrouvent assiégés par deux armées de zombies. Nos intrépides héros, Tom, Patty et Dave le Dingo, devront unir leurs forces pour surmonter cette nouvelle invasion...

Excédées par les bizarreries de Dave le Dingo, les plantes décident d’emménager dans une nouvelle demeure à Voisinville. Mais les jeunes plantes ne sont pas très douées pour vivre toutes seules : afin d’éviter la catastrophe, Patty et Tom se dévouent et leur apprennent à se débrouiller … comme des humains.

Voilà qui intrigue le Dr Zomboss, qui se met en tête de les espionner. Quel nouveau plan mijote-t-il ?

Quand le Dr Zomboss et Dave le dingo se retrouvent dans le même club de lecture, une guerre littéraire est inévitable ! La place de président du club se libère et Zomboss et Dave le dingo se disputent âprement celle-ci pendant que Tom, Patty et leurs intrépides plantes s’attaquent aux zombies dans une savante échauffourée !

Quand le Dr Zomboss cherche à détruire les jardins de la ville et à faire en sorte que les plantes se retrouvent sans abri et sans endroit pour pousser, c’est à Tom, Patty, Dave le dingo et aux plantes de trouver un plan pour l’arrêter ! Cependant, il va s’avérer que ce plan inclue : des chiens, des chats, des lapins, des paresseux et autres animaux de compagnie et quelques dinosaures rendant les choses encore plus dingues !

Dr. Zomboss invente un " Cristal glacial " capable de congeler Voisinville et de créer un hiver éternel, enterrant les plantes et les humains dans la neige et la glace ! Avec la plupart des plantes bienveillantes refroidies et immobiles, Zomboss espère mener ses troupes de zombies de sang-froid en mission pour envahir la ville. C'est à Tom, Patty, Dave le Dingo et aux plantes les plus féroces de s'adapter, de se battre et de sauver Voisinville... avec l'aide des pirates !

On se fait plaisir pendant les vacances avec du dessin et des coloriages !

Ou on choisit l'option "Jeu" !